C'est à l'issue de leur conseil national tenu jeudi 12 janvier que les les hospitalo-universitaires ont décidé de durcir leur mouvement de grève en bloquant les examens de la faculté de médecine dès le mois de février prochain, si des réponses ne sont apportées à leurs revendications.
Cette décision intervient au lendemain de la grève de trois jours qui a été massivemment suivie par les hospitalo-universitaires et qui sera reconduite chaque semaine.
Le ministère de la santé, de la population et des réformes hospitalières, en réponse à leur mouvement a intenté, mercredi 11 janvier, une action en justice contre le syndicat national des hospitalo-universitaires à cause d’une grève que la tutelle a jugé « illégale ».
« Nous en sommes scandalisés par cette attitude du ministère de la santé qui consiste à freiner l'activité syndicale !» c’est ainsi qu 'un membre du syndicat a commenté l'action de la tutelle devant les journalistes.
Les professeurs déplorent des conditions de travail catastrophiques où la pénurie des médicaments est récurrente. Le médecin lui en est « psychologiquement abattu » et « le malade pris en otage », tels sont les avis partagés par les hospitalo-universitaires en marge de leur conseil et à l'issue duquel ils ont décidé d'aller jusqu'au bout de leur mouvement.
"Nous voudrions la concrétisation pure et simple de nos revendications" a insisté un membre du syndicat.
Journal Elwatan
Cette décision intervient au lendemain de la grève de trois jours qui a été massivemment suivie par les hospitalo-universitaires et qui sera reconduite chaque semaine.
Le ministère de la santé, de la population et des réformes hospitalières, en réponse à leur mouvement a intenté, mercredi 11 janvier, une action en justice contre le syndicat national des hospitalo-universitaires à cause d’une grève que la tutelle a jugé « illégale ».
« Nous en sommes scandalisés par cette attitude du ministère de la santé qui consiste à freiner l'activité syndicale !» c’est ainsi qu 'un membre du syndicat a commenté l'action de la tutelle devant les journalistes.
Les professeurs déplorent des conditions de travail catastrophiques où la pénurie des médicaments est récurrente. Le médecin lui en est « psychologiquement abattu » et « le malade pris en otage », tels sont les avis partagés par les hospitalo-universitaires en marge de leur conseil et à l'issue duquel ils ont décidé d'aller jusqu'au bout de leur mouvement.
"Nous voudrions la concrétisation pure et simple de nos revendications" a insisté un membre du syndicat.
Journal Elwatan