«La cardiologie algérienne subit inéluctablement sa transition épidémiologique au même titre que les autres pays en voie de développement, tout en sachant que les maladies cardiovasculaires constituent la cause principale de décès dans le monde.
Ainsi doit-elle subir la métamorphose nécessaire devant l’amener à s’adapter aux nouvelles réalités », soulignent les Professeurs Bouhouita, Nibouche et Brouri qui ont animé hier matin, à l’hôtel Hilton, une conférence de presse consacrée à la présentation des résultats de l’étude
épidémiologique internationale sur
l’évaluation de la prise en charge de l’hypercholestérolémie en Algérie.
Seuls 6 patients sur 10 ont déjà entendu parler du LDL cholestérol. 1 patient sur 2 connaît le taux de cholestérol cible fixé par son médecin. Ce taux cible n’est atteint que chez un tiers des patients traités.
Les données de proviennent de plus de 1.236 personnes étudiées en 6 mois par 46 médecins, ont démontré selon nos trois conférenciers, que le contrôle du principal facteur de risque cardiovasculaire (le LDL cholestérol) est insuffisant surtout chez celles recrutées à haut et très haut risque.
Ainsi 1 patient sur 3 n’est pas l’objectif fixé par les recommandations. Pour nos trois spécialistes ; ce travail prouve qu’il y un véritable effort à fournir pour sensibiliser et informer le patient sur son niveau de cholestérol et sur les conséquences cardiovasculaires. Parmi les patients inclus, plus de 53 % des patients étudiés présentaient au moins un antécédent cardiovasculaire. Ces antécédents étaient selon les conférenciers, dominés (+ de 47 %) par la maladie coronarienne.
L’étude a également mis en évidence que 95 % des médecins prennent en charge l’hypercholestérolémie de leurs patients en suivant les différentes recommandations internationales. S’agissant les recommandations les plus utilisées les orateurs citent les recommandations américaines NCEP ATP III.
Le taux de LDL cholestérol, connu aussi sous le nom de « mauvais cholestérol dans le sang est le marqueur biologique utilisé par l’ensemble des médecins pour surveiller leur patients, tandis que le cholestérol total n’est utilisé que par 39 % d’entre eux.
Les résultats de l’enquête évoquent le niveau d’information des patients qui est « significativement insuffisant ».
Pour lutter contre les facteurs de risque des pathologies cardiovasculaires, il est recommandé d’arrêter le tabac et l'alcool, avoir de bonnes habitudes alimentaires, pratiquer une activité physique régulière et avoir une bonne observance des prescriptions médicales, est-il préconisé.
Ainsi doit-elle subir la métamorphose nécessaire devant l’amener à s’adapter aux nouvelles réalités », soulignent les Professeurs Bouhouita, Nibouche et Brouri qui ont animé hier matin, à l’hôtel Hilton, une conférence de presse consacrée à la présentation des résultats de l’étude
épidémiologique internationale sur
l’évaluation de la prise en charge de l’hypercholestérolémie en Algérie.
Seuls 6 patients sur 10 ont déjà entendu parler du LDL cholestérol. 1 patient sur 2 connaît le taux de cholestérol cible fixé par son médecin. Ce taux cible n’est atteint que chez un tiers des patients traités.
Les données de proviennent de plus de 1.236 personnes étudiées en 6 mois par 46 médecins, ont démontré selon nos trois conférenciers, que le contrôle du principal facteur de risque cardiovasculaire (le LDL cholestérol) est insuffisant surtout chez celles recrutées à haut et très haut risque.
Ainsi 1 patient sur 3 n’est pas l’objectif fixé par les recommandations. Pour nos trois spécialistes ; ce travail prouve qu’il y un véritable effort à fournir pour sensibiliser et informer le patient sur son niveau de cholestérol et sur les conséquences cardiovasculaires. Parmi les patients inclus, plus de 53 % des patients étudiés présentaient au moins un antécédent cardiovasculaire. Ces antécédents étaient selon les conférenciers, dominés (+ de 47 %) par la maladie coronarienne.
L’étude a également mis en évidence que 95 % des médecins prennent en charge l’hypercholestérolémie de leurs patients en suivant les différentes recommandations internationales. S’agissant les recommandations les plus utilisées les orateurs citent les recommandations américaines NCEP ATP III.
Le taux de LDL cholestérol, connu aussi sous le nom de « mauvais cholestérol dans le sang est le marqueur biologique utilisé par l’ensemble des médecins pour surveiller leur patients, tandis que le cholestérol total n’est utilisé que par 39 % d’entre eux.
Les résultats de l’enquête évoquent le niveau d’information des patients qui est « significativement insuffisant ».
Pour lutter contre les facteurs de risque des pathologies cardiovasculaires, il est recommandé d’arrêter le tabac et l'alcool, avoir de bonnes habitudes alimentaires, pratiquer une activité physique régulière et avoir une bonne observance des prescriptions médicales, est-il préconisé.