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L'Hélium

3 participants

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1L'Hélium       Empty L'Hélium Mar 24 Mai 2011 - 21:56

pf

pf

L'Hélium       Halium10
S’il existe en abondance dans l’atmosphère du Soleil, d’où son nom qui provient du grec ἥλιος (helios) « le soleil », on ne le trouve qu’à l’état de traces dans l’atmosphère terrestre. Gaz extrêmement léger, il est par conséquent très volatil mais pas au point de généraliser le rêve d’Icare

Premier élément de la famille des gaz rares, l’hélium est pratiquement inerte chimiquement et monoatomique en toute circonstance, reflet de sa structure électronique dite saturée. Dans un vaste domaine de températures et de pressions, il se comporte expérimentalement comme un gaz parfait, ce qui en fait un outil privilégié pour l’expérimentation des théories physico-chimiques. Il possède deux isotopes stables : 3He et 4He qui présentent des propriétés physiques différentes, liées à leur différence de masse.

A l’échelle de l’Univers, la plus grande partie de l’hélium présent a été formé lors de la nucléosynthèse primordiale aux premiers instants du Big Bang, en quantités énormes (23 % de toute la matière). Sur la Terre, presque tout l’hélium provient de la radioactivité α. On le trouve principalement dans les minerais d’uranium et de thorium, émetteurs de particules α, qui sont des noyaux d’hélium ionisé He2+, qui se neutralisent immédiatement avec des électrons. On estime à 3 000 t l’hélium ainsi produit chaque année dans la lithosphère. Toutefois, on le trouve essentiellement sous forme fossile dans des poches de gaz naturel de quelques gisements pétroliers d’Algérie, des États-Unis, de Pologne et de Russie. On l’extrait alors au moyen de forages profonds dans le sous-sol. On estime sa production annuelle à 200 Mm3.
Contrairement aux autres éléments, l’hélium reste liquide jusqu’au (presque) zéro absolu, à des pressions inférieures à 25 bar. Au-dessous du point d’ébullition à 4,22K et au-dessus du point lambda à 2,1768K, l’hélium 4 existe sous forme d’un liquide normal incolore, appelé hélium I. L’hélium liquide en dessous du point lambda commence à présenter des caractéristiques tout à fait inhabituelles, dans un état appelé hélium II. Contrairement aux liquides ordinaires, l’hélium II rampe le long des surfaces, apparemment, contre la gravité. Il s’échappe ainsi d’un récipient non fermé ! L’hélium 3 présente également ce comportement.

Avec le néon, l’hélium est chimiquement le moins réactif de tous les corps dans les conditions normales. Il semblerait à l’heure actuelle que les seuls composés stables de l’hélium prouvés soient des complexes endoédriques de fullerènes, comme He@C60, qui désigne un atome d’hélium emprisonné dans une cage de fullerène C60.

Malgré son prix élevé, l’hélium est utilisé pour de nombreux usages qui mettent à profit certaines de ses propriétés uniques, telles son bas point d’ébullition, sa faible densité, sa faible solubilité, sa haute conductivité thermique ou son caractère chimiquement et biologiquement inerte.

A l’état liquide, l’hélium est utilisé

* pour refroidir certains métaux et alliages aux températures extrêmement basses nécessitées par la supraconductivité : les aimants supraconducteurs sont employés dans les appareils d’imagerie médicale IRM, pour les spectromètres de RMN ou de RPE ; les aimants du collisionneur LHC du CERN utilise pas moins de 96 t d’hélium liquide pour maintenir leur température à 1,9 K…
* pour pressuriser les réservoirs de dihydrogène et de dioxygène des réservoirs de fusée (Ariane 5 par exemple). A l’état gazeux, l’hélium est utilisé
* en raison de son caractère inerte, sa grande conductivité thermique, sa transparence aux neutrons et parce qu’il ne forme pas d’isotope radioactifs au sein des réacteurs, comme fluide de transfert de chaleur dans certains réacteurs nucléaires refroidis au gaz,
* en tant que gaz vecteur en chromatographie en phase gazeuse, outil universel d’analyse chimique,
* en détection de fuites dans les conduites de gaz sous pression,
* en raison de sa faible solubilité dans le tissu nerveux, en mélange tels que le trimix, l’héliox et l’héliair pour la plongée sous-marine profonde, afin de réduire les effets de la narcose à l’azote,
* et bien entendu pour le gonflage de dirigeables… et de ballons, d’où

La pensée chimique du jour :
« l’hélium donne des ailes aux ballons ! »

L'Hélium       S7s

2L'Hélium       Empty Re: L'Hélium Mar 24 Mai 2011 - 22:12

soumia31

soumia31

j'ai aimé la pensée


Merci.
SOMIA

3L'Hélium       Empty La découverte de l'Hélium Mer 25 Mai 2011 - 20:59

Admin

Admin
Admin

La Découverte de l'Hélium
La première indication de l'hélium est observée le 18 août 1868, comme une raie jaune brillante à une longueur d'onde de 587,49 nm dans le spectre de la chromosphère du Soleil. Cette raie est détectée par l'astronome français Jules Janssen pendant une éclipse totale à Guntur (Inde)[65],[10]. Au début, on pense que cette raie est celle du sodium. Le 20 octobre de la même année, l'astronome anglais Norman Lockyer observe une raie jaune dans le spectre solaire, qu'il appelle raie de Fraunhofer D3, en raison de sa proximité avec les raies bien connues D1 et D2 du sodium[66]. Il en conclut qu'elle est provoquée par un élément du Soleil inconnu sur Terre. Lockyer et le chimiste anglais Edward Frankland nomment cet élément d'après le mot grec pour Soleil, ἥλιος (hélios)[67].

En 1882, Luigi Palmieri réussit pour la première fois à démontrer la présence d'hélium sur la Terre, par l'analyse spectrale de la lave du Vésuve.
Raies spectrales de l'hélium

Le 26 mars 1895, le chimiste britannique Sir William Ramsay isole l'hélium sur Terre en traitant la clévéite[68] (une variété de pechblende, contenant au moins 10 % de terres rares) avec des acides minéraux. Ramsay cherchait de l'argon, mais, après avoir séparé le diazote et le dioxygène du gaz libéré par l'acide sulfurique, il remarque au spectroscope une raie jaune brillante qui coïncide avec la raie D3 observée dans le spectre solaire[69],[70],[71],[72].

Ces échantillons sont identifiés comme étant de l'hélium par Lockyer et le physicien britannique William Crookes. Indépendamment, il est isolé de la clévéite la même année par les chimistes Per Theodor Cleve et Abraham Langlet à Uppsala, qui accumulent suffisamment de gaz pour pouvoir déterminer avec précision sa masse atomique[10],[73],[74].

L'hélium avait aussi été isolé par le géochimiste américain William Francis Hillebrand, quelques années avant la découverte par Ramsay, en remarquant des raies spectrales inhabituelles à l'examen d'un échantillon d'uraninite. Mais Hillebrand attribue ces raies au diazote. Sa lettre de félicitations à Ramsay présente un cas intéressant de découverte et de presque-découverte en science[75].

En 1907, Ernest Rutherford et Thomas Royds démontrent que les particules α sont des noyaux d'hélium, en permettant aux particules de pénétrer à travers une fine fenêtre en verre d'un tube où ils ont fait le vide, puis créant une décharge dans le tube pour étudier le spectre du nouveau gaz qui s'y trouve. En 1908, l'hélium est liquéfié pour la première fois par le physicien néerlandais Heike Kamerlingh Onnes, en refroidissant le gaz au-dessous de 1 K[76]. Il essaie de le solidifier en baissant encore la température, mais échoue, puisque l'hélium n'a pas de point triple. C'est un étudiant d'Onnes, Willem Hendrik Keesom, qui arrive à solidifier sous pression 1 cm3 d'hélium en 1926[77].

En 1938, le physicien soviétique Pyotr Leonidovitch Kapitsa découvre que l'hélium 4 n'a presque pas de viscosité aux températures proches du zéro absolu, phénomène maintenant nommé superfluidité[78]. En 1972, le même phénomène est observé dans l'hélium 3, mais à une température bien plus proche du zéro absolu, par les physiciens américains Douglas D. Osheroff, David M. Lee, et Robert C. Richardson. Le phénomène dans l'hélium 3 est interprété comme la formation de paires d'atomes, qui sont des fermions, pour former des bosons, par analogie avec les paires de Cooper d'électrons à la base de la supraconductivité[79].
Production et usages[modifier]

Après un forage pétrolier en 1903 à Dexter, Kansas, le jet de gaz produit était incombustible. Erasmus Haworth, le géologue de l'État du Kansas, collecta des échantillons du gaz produit et les rapporta à l'université du Kansas, Lawrence. Avec l'aide des chimistes Hamilton Cady et David McFarland, il détermina que le gaz était, en volume, 72 % de diazote, 15 % de méthane (un pourcentage combustible seulement avec plus de dioxygène) et 12 % de gaz non identifiable[10],[80]. Une analyse plus poussée montre à Cady et McFarland que 1,84 % de l'échantillon de gaz est de l'hélium[81] ,[82]. Ceci montre qu'en dépit de sa rareté globale sur Terre, l'hélium est concentré en grandes quantités sous les Grandes Plaines américaines et est disponible pour la production comme sous-produit de l'exploitation du gaz naturel[83]. Les plus grandes réserves d'hélium sont dans le gisement d'Hugoton et dans les gisements voisins du Kansas du sud-ouest avec des prolongements au Texas et en Oklahoma.

Ceci a permis aux États-Unis de devenir le premier producteur d'hélium du monde. Suivant la suggestion de Sir Richard Threlfall, la marine des États-Unis subventionne trois petites usines expérimentales de production d'hélium pendant la Première Guerre mondiale. Le but est d'approvisionner les ballons captifs de barrage avec ce gaz ininflammable et plus léger que l'air. Un total de 5 700 m3 d'hélium à 92 % est produit par ce programme, malgré le fait que précédemment, moins de 100 l ait été produit au total[69]. Une partie de ce gaz est utilisé pour le premier dirigeable gonflé à l'hélium dans le monde, le C-7 de la marine américaine, inauguré pour son premier voyage de Hampton Roads en Virginie au terrain de Bolling à Washington le 1er décembre 1921[84].

Bien que le procédé d'extraction par liquéfaction du gaz à basse température ne soit pas mis au point assez tôt pour jouer un rôle significatif pendant la Première Guerre mondiale, la production se poursuivra. L'hélium est utilisé en premier lieu pour gonfler les aérostats. Cet usage va accroître la demande pendant la Seconde Guerre mondiale, de même que la demande pour la soudure à l'arc.

Le spectromètre de masse à hélium est également vital pour le projet Manhattan de bombe atomique[85].

Le gouvernement des États-Unis crée en 1925 une Réserve Nationale d'Hélium à Amarillo, Texas, dans le but d'approvisionner les aérostats, militaires en temps de guerre, et civils en temps de paix[18]. En raison de l'embargo militaire des États-Unis contre l'Allemagne, la fourniture d'hélium y a été restreinte et le Hindenburg a dû être gonflé à l'hydrogène, avec les conséquences catastrophiques qui s'ensuivirent lors de son incendie. La consommation d'hélium après la Seconde Guerre mondiale diminue, mais la réserve est augmentée dans les années 1950 pour assurer la fourniture d'hélium liquide pour le lancement des fusées pendant la course à l'espace et la guerre froide. En 1965, la consommation d'hélium des États-Unis dépasse huit fois le maximum qu'elle a atteint pendant le temps de guerre[86].

Après les Amendements sur les lois de l'hélium de 1960 (loi publique 86-777), le Bureau des mines des États-Unis met en place cinq usines privées pour l'extraction de l'hélium du gaz naturel. Pour ce programme de préservation de l'hélium, le Bureau construit un gazoduc de 684 km de Bushton, Kansas, à Cliffside, près d'Amarillo, gisement partiellement épuisé. Le mélange hélium-diazote ainsi apporté est injecté et stocké jusqu'au moment des besoins, quand il est extrait et purifié[87].

En 1995, un milliard de m3 de gaz ont été réunis mais la réserve a 1,4 milliard de dollars US de dettes, ce qui conduit le Congrès des États-Unis, en 1996, à faire cesser progressivement son activité[10],[49]. La Loi de privatisation de l'hélium de 1996 qui s'ensuit (Loi publique 104–273) enjoint le Département de l'Intérieur des États-Unis de commencer à vider la réserve en 2005[88].

L'hélium produit entre 1930 et 1945 était pur à environ 98,3 % (~ 2 % de diazote), ce qui convenait parfaitement pour les aérostats. En 1945, une petite quantité d'hélium à 99,9 % était produite pour l'utilisation pour la soudure à l'arc. Dès 1949, des quantités commerciales d'hélium de qualité A à 99,995 % étaient disponibles[89].

Pendant plusieurs années, les États-Unis produisent plus de 90 % de l'hélium commercialement disponible dans le monde, les usines d'extraction du Canada, de Pologne, de Russie et d'autres nations produisant le reste. Au milieu des années 1990, une nouvelle usine commence à produire à Arzew, en Algérie. Avec 1,7×107 m3 par an, elle peut couvrir toute la demande européenne, soit environ 16 % de la production mondiale. Pendant ce temps-là, la consommation aux États-Unis a dépassé 15 000 t en 2000[90]. En 2004–2006, deux usines additionnelles sont construites, une à Ras Laffan (Qatar) produisant 9,2 tonnes d'hélium liquide par jour, soit 1,88×107 m3 par an, et l'autre à Skikda (Algérie). L'Algérie est rapidement devenue le deuxième producteur d'hélium[61]. Au cours de cette période, la consommation d'hélium et les coûts de production ont augmenté[91]. Entre 2002 et 2007, les prix de l'hélium ont doublé[92] et pendant la seule année 2008, les principaux fournisseurs ont augmenté leurs prix d'environ 50 %[citation nécessaire]. Ceci est lié à un état effectif de pénurie chronique d'hélium, ce qui en fait une matière première stratégique et recherchée par le monde scientifique et industriel, notamment pour de nouveaux usages comme la fabrication de fibres optiques et de circuits intégrés.

On voit que l'Algérie est un producteur principale de cet élément

Source wikipédia

https://magisteresalgeriens.yoo7.com

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