Sam 18 Mai 2019 - 0:03 par 
Les étudiants en 3ème année de licence en génie civil, option bâtiment, observent, depuis jeudi dernier, une grève afin de dénoncer les conditions dans lesquelles ils étudient.
Le mois dernier, ils ont déposé un préavis de grève. Le 5 janvier dernier, constatant que leurs conditions, plutôt que de s’améliorer, se sont au contraire dégradées, les étudiants ont décidé d’entamer leur mouvement de protestation. L’essentiel de leur requête est à caractère pédagogique et concerne, en grande partie, le manque d’ordinateurs fonctionnels au sein de leur département. «On nous a rapporté, de l’USTO, une grande quantité d’ordinateurs mais, à cause de compteurs défectueux, un court-circuit a endommagé toutes les unités centrales. De ce fait, à l’heure actuelle, on se retrouve sans ordinateur».
L’autre grand problème auquel ces étudiants font face est celui du manque d’ouvrages pédagogiques. «Il y a certains livres qu’on lit à tour de rôle, tellement ils sont rares», nous ont-ils expliqué. «Du fait que la bibliothèque soit actuellement en chantier, on nous a légué une salle de lecture aux vitres cassées et, en hiver, on y gèle!» Même chose pour l’amphithéâtre central: il se trouve dépourvu d’électricité et de vitres. Les étudiants souffrent également de l’absence de restauration au sein de l’université ainsi que du manque de moyens matériels. Il est à signaler, pour finir, que Mme la rectrice de l’université de l’USTO a reçu une délégation de ces étudiants contestataires et a promis de satisfaire leur requête.
Source El Watan
Le mois dernier, ils ont déposé un préavis de grève. Le 5 janvier dernier, constatant que leurs conditions, plutôt que de s’améliorer, se sont au contraire dégradées, les étudiants ont décidé d’entamer leur mouvement de protestation. L’essentiel de leur requête est à caractère pédagogique et concerne, en grande partie, le manque d’ordinateurs fonctionnels au sein de leur département. «On nous a rapporté, de l’USTO, une grande quantité d’ordinateurs mais, à cause de compteurs défectueux, un court-circuit a endommagé toutes les unités centrales. De ce fait, à l’heure actuelle, on se retrouve sans ordinateur».
L’autre grand problème auquel ces étudiants font face est celui du manque d’ouvrages pédagogiques. «Il y a certains livres qu’on lit à tour de rôle, tellement ils sont rares», nous ont-ils expliqué. «Du fait que la bibliothèque soit actuellement en chantier, on nous a légué une salle de lecture aux vitres cassées et, en hiver, on y gèle!» Même chose pour l’amphithéâtre central: il se trouve dépourvu d’électricité et de vitres. Les étudiants souffrent également de l’absence de restauration au sein de l’université ainsi que du manque de moyens matériels. Il est à signaler, pour finir, que Mme la rectrice de l’université de l’USTO a reçu une délégation de ces étudiants contestataires et a promis de satisfaire leur requête.
Source El Watan
