QUEL UNIVERSITÉ VOULONS-NOUS A NOS ENFANTS ET LEURS ENFANT ET LEURS .... ENFANTS ?
Depuis sa naissance en 1962, l’université algérienne a traversé plusieurs étapes dans son développement. Sa première tâche était de rattraper un retard flagrant, causé par le colonialisme. Elle a donc misé sur l’aspect quantitatif et sur une politique ambitieuse de formation de cadres à l’étranger. Cependant, les velléités du pouvoir politique pour son contrôle l’ont obligée à se développer dans un cadre autoritaire, privilégiant la gestion administrative au détriment de l’autonomie et de l’innovation. Sa prise en otage par le système politique en place l’a empêchée d’être une institution respectable, pouvant ainsi jouer le rôle de locomotive dans le développement du pays, dans les domaines du savoir, des libertés et de l’économie. L’université algérienne a donc produit
une élite scientifique
malheureusement marginalisée et plus souvent poussée à l’exil..
Actuellement les pouvoir publique dévalorise le système classique .
La bêtise humaine a ainsi sacrifié des centaines d’étudiants dans l’évolution naturelle de leur cursus en leur faisant perdre un temps précieux pour continuer et achever leurs études.
La mise en place du nouveau système LMD n’a pas tenu compte de nos réalités, que ce soit en termes de capacité d’organisation, de flux d’étudiants et de nombre d’enseignants qualifiés. La procédure de passage d’une année à l’autre s’avère quelquefois injuste, à cause d’une mauvaise correspondance entre la moyenne générale annuelle d’un côté, et les nombres requis d’unités fondamentales et de crédits. Ce qui fait que certains étudiants avec une moyenne supérieure à 10 sont recalés, tandis que d’autres passent l’année avec une moyenne inférieure à 10.
donc il faut agir tous ensemble système classique et LMD pour sauver université et avec elle l'avenir de nos futur générations .
Depuis sa naissance en 1962, l’université algérienne a traversé plusieurs étapes dans son développement. Sa première tâche était de rattraper un retard flagrant, causé par le colonialisme. Elle a donc misé sur l’aspect quantitatif et sur une politique ambitieuse de formation de cadres à l’étranger. Cependant, les velléités du pouvoir politique pour son contrôle l’ont obligée à se développer dans un cadre autoritaire, privilégiant la gestion administrative au détriment de l’autonomie et de l’innovation. Sa prise en otage par le système politique en place l’a empêchée d’être une institution respectable, pouvant ainsi jouer le rôle de locomotive dans le développement du pays, dans les domaines du savoir, des libertés et de l’économie. L’université algérienne a donc produit
une élite scientifique
malheureusement marginalisée et plus souvent poussée à l’exil..
Actuellement les pouvoir publique dévalorise le système classique .
La bêtise humaine a ainsi sacrifié des centaines d’étudiants dans l’évolution naturelle de leur cursus en leur faisant perdre un temps précieux pour continuer et achever leurs études.
La mise en place du nouveau système LMD n’a pas tenu compte de nos réalités, que ce soit en termes de capacité d’organisation, de flux d’étudiants et de nombre d’enseignants qualifiés. La procédure de passage d’une année à l’autre s’avère quelquefois injuste, à cause d’une mauvaise correspondance entre la moyenne générale annuelle d’un côté, et les nombres requis d’unités fondamentales et de crédits. Ce qui fait que certains étudiants avec une moyenne supérieure à 10 sont recalés, tandis que d’autres passent l’année avec une moyenne inférieure à 10.
donc il faut agir tous ensemble système classique et LMD pour sauver université et avec elle l'avenir de nos futur générations .