Depuis la matinée, des barrières de la police nous ont
empêchés de marcher jusqu’au ministère de l’Enseignement
Supérieur. Mais lorsqu’on a coupé la route,
les policiers ont compris que nous étions vraiment
déterminés à tenir notre rassemblement. Dés lors, ils
ont relâché leur dispositif», précise encore notre interlocutrice.
Pour rappel, les forces de l’ordre ont tenté lundi matin
de disperser par la force plusieurs centaines d’étudiants
protestataires à Ben Aknou, au niveau du siège du
ministère de l’Enseignement Supérieur. Les étudiants
qui ont décidé de reconduire leur mouvement de protestation
ont démontré fermement leur détermination
à se rassembler devant le département de Harrouabia.
Mais les policiers, mobilisés en nombre, ont empêché ce
nouveau sit-in. Ils n’ont pas hésité également à recourir
à la matraque pour effrayer et terrifier les étudiants.
Toutefois, révoltés par la présence de cet arsenal répressif,
plusieurs centaines d’étudiants ont tenté de
forcer le cordon de sécurité mis en place au niveau du
siège du ministère de l’Enseigmenet Supérieur. Des
«Casques Bleus» et des «CRS» se sont installés tôt
la matinée devant le département de Harrouabia pour
empêcher une nouvelle manifestation de colère des
étudiants grévistes.
Par conséquent, quelques affrontements ont éclaté
entre les forces de l’ordre et des centaines d’étudiants
qui réclament haut et fort leur droit à manifester pacifiquement.
Repoussés et malmenés par les services
de sécurité, ces étudiants ont décidé ainsi de bloquer
la route qui mène vers le ministère de l’Enseignement
Supérieur.
«Nous resterons ici jusqu’à l’aboutissement de notre
combat. La matraque et la répression ne vont pas nous
effrayer. On ne se laissera pas faire comme ça. On se
battra jusqu’au bout», s’écrient des étudiants que nous
avons joint par téléphone. Ces derniers ont confirmé
que les foules estudiantines scandent en ce moment
des slogans contre le régime.
empêchés de marcher jusqu’au ministère de l’Enseignement
Supérieur. Mais lorsqu’on a coupé la route,
les policiers ont compris que nous étions vraiment
déterminés à tenir notre rassemblement. Dés lors, ils
ont relâché leur dispositif», précise encore notre interlocutrice.
Pour rappel, les forces de l’ordre ont tenté lundi matin
de disperser par la force plusieurs centaines d’étudiants
protestataires à Ben Aknou, au niveau du siège du
ministère de l’Enseignement Supérieur. Les étudiants
qui ont décidé de reconduire leur mouvement de protestation
ont démontré fermement leur détermination
à se rassembler devant le département de Harrouabia.
Mais les policiers, mobilisés en nombre, ont empêché ce
nouveau sit-in. Ils n’ont pas hésité également à recourir
à la matraque pour effrayer et terrifier les étudiants.
Toutefois, révoltés par la présence de cet arsenal répressif,
plusieurs centaines d’étudiants ont tenté de
forcer le cordon de sécurité mis en place au niveau du
siège du ministère de l’Enseigmenet Supérieur. Des
«Casques Bleus» et des «CRS» se sont installés tôt
la matinée devant le département de Harrouabia pour
empêcher une nouvelle manifestation de colère des
étudiants grévistes.
Par conséquent, quelques affrontements ont éclaté
entre les forces de l’ordre et des centaines d’étudiants
qui réclament haut et fort leur droit à manifester pacifiquement.
Repoussés et malmenés par les services
de sécurité, ces étudiants ont décidé ainsi de bloquer
la route qui mène vers le ministère de l’Enseignement
Supérieur.
«Nous resterons ici jusqu’à l’aboutissement de notre
combat. La matraque et la répression ne vont pas nous
effrayer. On ne se laissera pas faire comme ça. On se
battra jusqu’au bout», s’écrient des étudiants que nous
avons joint par téléphone. Ces derniers ont confirmé
que les foules estudiantines scandent en ce moment
des slogans contre le régime.